Amouk, où le comment du pourquoi il se pourrait qu'il en advienne qu'il en soit presque ainsi.

Pré-requis :
Ici je mettrais les indications nécessaires à la bonne compréhension de l’histoire et des événements. J’essayerai d’être le plus cohérent possible avec l’histoire de base de Dofus. C’est pour cela que je fais ce pré-requis : pour ceux et celles qui n’ont pas lu les artbook, je mets ici les éléments essentiels.



1) En premier temps, il faut savoir que les habitants d’Amakna ne naissent ni Sram ni Féca ni Osa, ni rien, mais ils naissent villageois sans distinctions physiques. C’est au fil de leur apprentissage de la vie, et vers le 16 ans qu’un villageois peut choisir de vénérer un dieu plutôt qu’un autre… Par rapport au caractère, à l’affinité… Mais ils peuvent très bien rester athé et simple villageois comme Tek Abire le patron de la taverne d’Astrub (et en même temps choisir pour un énorme bide à bière).



Je modifierais ce ptit "pré requis" dès que je pense qu'il sera utile de vous préciser des indications pour suivre l'histoire...

Synopsys



Monsieur Owen Lars vivait paisiblement avec sa femme Bery dans les grandes plaines rocheuses et montagneuses de Cania au Sud-Ouest de Bonta. Ils vivaient reclus de la société en parfaite autonomie grâce à leur élevage de bouftous, leur donnant viande et laine à profusion . Le troupeau de bouftous était promené de pâtures en pâtures, entre les rochers et les falaises, dans un cadre magnifique. Imaginez, le soleil qui se lève à l’est, au dessus de la mégapole de Bonta qui commençait à s’éveiller laissant entendre les bruits et sons du vaste marché réputé dans le monde entier , couverte encore de brume matinale, les rayons du soleil traversant les nuages avec une brise caressant les cheveux mi-long d’Owen, et le vent léchant les herbes verdoyantes sous les sabots des bouftous qui couraient essayant de trouver le meilleur endroit où brouter. Owen était donc un berger féca et sa femme une bergère fécate qui vivaient heureux. Ou presque. Parce que malheureusement, Bery était stérile. Ils n’arrivaient pas à avoir d’enfants, et étaient de ce fait attristés. Ils voulaient plus que tout un enfant qui reprendrait cet élevage de Bouftou et lui transmettre cet amour de la vie et de la simplicité. Cela faisait maintenant 5 ans qu’ils esssayaient, mais en vain. Ils s’étaient résous à ne plus avoir de descendance. Un vide in-mesurable dans une vie aussi remplie que la leur…


Les temps étaient à la guerre, opposant Bontariens et Brakmariens, dans une lutte de force et de puissance, et recouvrant les vastes contrées de corps inanimés et de sang. Les Lars ne voulaient pas prendre parti au conflit, mais soignaient les blessés de n’importe quel camps, venant de Brakmar ou de Bonta. Souvent on abandonnait les blessés devant leur humble demeure, une petite maison toute de bois surélevée par un tumulus dominant toute la contrée… Les Lars les soignaient et les remettaient dans la direction de leur patrie respective. Ils comblaient leur manque d’affectivité en s’occupant d'aventuriers égarés.


Un soir d’orage et de pluie violente, après avoir rentré les bouftous dans les boxes et les avoir nourris, Owen regarda au loin dans la direction de son ombre, qui était gigantesque avec le soleil qui se couchait derrière lui. Il apercevait, dans la vallée au fond les lueurs de torches et des lames des Brakmariens qui avançaient furtivement vers la ville bénite. Ils allaient encore passer la nuit dans les cris d’effrois, les cognements d’armures ainsi que le bruit des lames qui s’entrecroisent… Ces nuits là, Bery et Owen ne dormiraient pas beaucoup… Il n’était pas rare qu’un duel de capes et d’épées se déporte vers leur petit paradis et qu’ils regardaient tout le combat par leur unique fenêtre. Cette nuit là, ils s’endormirent l’un au près de l’autre, en attendant la fin du carnage…


Soudain le vacarme strident fit place à un calme serrein presque inquiétant. Ce qui réveilla Owen, qui s’était habitué au bruit. L’aube se levait déjà apportant une timide luminosité à travers la fenêtre. Il remit la couverture faite de chutes de bouftous sur sa femme qui dormait paisiblement et commençait déjà à s’habiller quand on frappa sourdinement à la porte de bois, suivit d’un râle crépitant que connaissait bien Owen, le râle de l’homme blessé…


Voilà c'est terminé pour le moment, mais la suite dans le prochain épisode. Mais surtout n'hésitez pas à me faire vos remarques et suggestions, hsitoire d'améliorer ma plume... Et j'essayerai d'illustrer mon comte histoire de rendre la chose plus belle... A bientôt.

Le début est super !!
Je pense que la suite sera de même ^^

Bon A+
et Bonne continuation

Tu ne peux pas tout mettre d'un seul coups ? ^^
Non . . . . .Bon tempis !!

Chapitre 2: On s'amuse, on s'amuse et on va au marché (Variante: On boit, on boit et on va vomir)


Rushu voulait pour lui une descendance qui lui ressemblerait tant sur le plan de la puissance et de ces pouvoirs, mais qui prendrait aussi la forme et l'apparence de l'enveloppe charnelle d'un humain pour pouvoir infiltrer facilement le monde des Douze. Par ce procédé, il pourrait ainsi être omniscient et omniprésent dans le monde matériel et immatériel.


Malheureusement pour lui, faire des enfants n'est pas à la portée de tout le monde. Encore moins pour les semi-dieu-démons qui devaient trouver une porteuse à la fois assez grande, puissante et forte pour accueillir la semence et donner naissance à une descendance parfaite... Ce qui était impossible. Même pour le plus démoniaque des êtres divins, poils aux mains.


Rushu, très en colère de ne trouver personne à la taille de son manche, euh je veux dire, à son goût et à sa prestance démoniaque, se trouva un passe temps très agréable pour lui: son nouveau serviteur, Djaul. Djaul aime et reçoit sans broncher les coups de fouets, martinets, ronces, fils dentaires et tout ce qui ferait qu'un osamodas soit au paradis des osamodas... Rushu lui tient à peut près ce langage: « Tu prendras autant de coups que ma frustration sera grande, disciple, esclave, mais choisit simplement, préfères-tu que je sois un grec, ou bien un romain? Attention, ne réfléchit pas beaucoup, je veux ta réponse maintenant! Si tu veux, je reformule la question: tu préfères l'osam ou l'odas? Hein?! Répond, vermine!!! ».
Sous ces mots, le Djaul ne pouvait que murmurer dans un râle de douleur: « Mon Maitre,mon cher maiiiitre...Aieuh puis-je vous proposer ahem, une idée?... Vous ne pouvez, il ne m'en plait guère, vous procurer une descendance par les voies naturelles, n'est-il pas? Ouille... Avez vous songé aux voies artificielles, celle de la fabrication de toute pièceaillleuh un être vivant capable de vivre dans ce monde qui vous est interdit? J'ai bu... euh lu beaucoup de choses à ce sujet, et avec quelques ingrédient et un peu de votre, sang, j'ai bien dit, le votre, cela aboutirait à la naissance d'un clone possédant les mêmes attributions.... Mais avec une enveloppe humaineuh... »


Rushu qui était « on ne pouvait plus être étonné » de par le langage et le parlé de son disciple mais aussi de son idée bien arrivée, lui lança un regard coquin et complice avant de lancer: « Djaul, mon petit Djaujaul, tu as raison! D'abord, tu iras me prendre du fouet pour ton langage bien parlé, ensuite du martinet pour ton haleine alcoolisée, enfin tu iras sur Amaknet par la Brakbox regarder la recette de l'être humain, mais pas de bêtises, le contrôle parental est activé et je consulte régulièrement tous les historiques! Ensuite tu iras acheter tout ce dont tu as besoin pour fabriquer un être vivant (ou mort, quelle importance), et moi pendant ce temps, je vais préparer une cérémonie digne de ce nom pour accueillir l'heureux et malheureux événement...


Djaul était aux anges (si je puis dire, messire), enfin! son maître l'avait écouté, et appréciait une de ces idées... Il lança un « buvons à notre victoiiiiiire!! » … Trop trop mal placé. Rushu rétorquât vite « MOI, je bois, TOI, tu pars te faire fouetter! » « Biiien maître... ».


Dans sa tête Rushu faisait déjà la liste des invités … « Alors, Mme Du Fond? Tenez, Dodolphe son ami Golwin, Hykul l'invincible, celui dont on dit qu'il a un Bon Appart, la famille Teletubbies... », oui... Ça sera une grande fête!

...

Excellent, et très humoristique^^. J'aime les clins d'œil à ce cher donjon de naheulbeuk lol. (rayvacks a trouvé un lèche c** encore plus fort que lui^^)